T41 — Depuis l’enfance et l’adolescence, j’ai baigné dans l’occultisme et l’ésotérisme

Depuis l’enfance et l’adolescence, j’ai baigné dans l’occultisme et l’ésotérisme : en effet, mon père était, et est, toujours passionné par cela – il y avait toujours des livres parlant de l’occultisme à la maison : lignes de la main, la vie après la mort, astrologie, etc. -, il consultait parfois des voyants, rebouteux. Passionnée moi aussi par ces thèmes-là, surtout l’astrologie, numérologie, j’ai pratiqué le magnétisme (mes parents encourageaient à développer ce « don »), j’ai essayé la radiesthésie mais sans succès.

Durant cette période-là, j’ai fait ma première communion et profession de foi — mais cela était surtout un désir de ma mère —, je n’ai pas souhaité faire ma confirmation à ce moment-là.

Cependant, je me rendais à la messe, plutôt par tradition et non par conviction (Noël, Pâques, Rameaux).

Puis, en 2016, je me rends à la messe du 15 août, car j’aimais bien Marie, puis, plus tard à la messe de l’Immaculée Conception, et, lors de cette célébration, je suis émue, mais je ne sais pas pourquoi.

Puis, je reviens, progressivement, à la messe dominicale, là, sans contrainte, d’abord une fois par mois, puis une fois tous les 15 jours pour finalement, m’y rendre chaque semaine.

Je sais alors qu’il y a dans ma paroisse un groupe de louange animé par des jeunes, je m’y rends, puis au groupe de jeunes pros ; puis, petit à petit je ressens le désir de demander un jour à recevoir le sacrement de confirmation.

C’est une amie qui était dans le groupe de louange avec moi qui, ma gentiment fait remarqué que la pratique de l’occultisme était satanique et m’a fait comprendre de ne plus y toucher, si je voulais continuer à suivre le Christ.

Cette année, je me suis confessée pour la première fois depuis une vingtaine d’années, j’ai mis du temps à pouvoir le faire, car je n’y arrivais tout simplement pas.

Lors d’un Week-end de retraite chez les Pères Maristes de la région de Lyon, organisé par ma paroisse de Lyon, j’ai eu l’occasion, et me sentais capable, de me confesser pour la première fois depuis longtemps.

Lors de l’absolution, j’ai ressenti une chaleur sur ma tête, cet événement s’est reproduit une deuxième fois lors du passage du Saint-Sacrement lors d’une soirée de guérison et de consolation organisée par la Communauté de l’Emmanuel.

Aujourd’hui, j’ai complètement stoppé ces pratiques, et arrêté de me documenter sur celles-ci.

Dans un mois, si tout va bien, je recevrais le sacrement de la confirmation.

30 août 2020