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Les grandes cérémonies mondialistes


L’INAUGURATION DU TUNNEL DU MONT SAINT GOTHARD (2016)

Cela paraît une galéjade mais ça n’en est pas une. MM. Hollande, Merkel, Renzi, ont assisté à l’inauguration solennelle du plus long tunnel du monde, sous le Saint Gothard : or le coûteux spectacle donné à cette occasion ne fut qu’un rituel explicitement sataniste.
Article original en anglais
*** Traduction en fançais
Et aussi cet autre article

À TOULOUSE, LE MINOTAURE (2018)

Une analyse par un chrétien de Toulouse

EUROVISION 2019 : MADONNA

La finale a présenté des dizaines de représentations d’artistes et de dizaines de pays du monde entier. En dépit de cette grande diversité de milieux culturels, il existait un fil conducteur évident : la soumission à l’élite occulte. En effet, l’Eurovision est la preuve évidente que l’industrie musicale mondiale doit être soumise à la culture dégradante et hégémonique de l’élite.


UNE DÉCORATION AU FORUM ÉCONOMIQUE MONDIAL DE DAVOS (2023)

Une imposante tapisserie de l’artiste britannique Grayson Perry, travesti flamboyant à l’œuvre quelque peu dérangée, ornait la salle à manger réservée aux grands de ce monde lors de la dernière réunion en date du Forum économique mondial à Davos. Large de quinze mètres, haute de trois, la Walthamstow Tapestry a été présentée en ligne par une journaliste « infiltrée », Larry Alex Taunton, qui a eu accès au film de l’œuvre devant laquelle a notamment posé l’ancien Premier ministre britannique, Theresa May. La tapisserie prétend décrire les sept âges de la vie dans un contexte consumériste : comme dans bien des productions de l’« art » contemporain, des noms de marques y sont présents (mais ici c’est à foison), ainsi qu’une imagerie religieuse détournée, chrétienne pour l’essentiel. L’œuvre fait désormais le buzz sur les réseaux sociaux où de nombreux internautes s’interrogent sur son caractère sataniste.

Et il y a de quoi, comme on peut le constater sur cette présentation détaillée de la Walthamstow Tapestry.

La tapisserie se « lit » de gauche à droite et s’ouvre sur l’image d’une vieille femme nue donnant naissance à un bébé rouge sang, sang qui se prolonge en une sorte de rivière qui parcourt toute la largeur de la scène pour aboutir dans la gueule d’une tête de démon à laquelle deux rois (ou mages) orientaux présentent une carafe précieuse et une tiare, tandis qu’une princesse lui tend un petit enfant.

La tapisserie utilisée comme décoration à Davos présente Satan comme l’aboutissement du voyage humain

Un chemin jaune, apparemment moins douloureux, part également de la parturiente et traverse lui aussi la tapisserie tissée selon la technique Jacquard, mais croise et recroise le chemin de sang et finit par se joindre à lui pour finir avalé par l’image du démon. C’est sur ce chemin jaune qu’on trouve une vilaine petite fille tenant dans ces mains une sorte de poupée christique, un jeune homme auréolé tenant un poignard, et une chapelle ; au-dessus de celle-ci, sur le chemin de sang, un évêque semble baptiser un roi – Clovis ?

Le point focal, au centre de l’œuvre, montre une femme portant un foulard de soie sur la tête et tenant de ses mains cruelles comme son bien le plus précieux un sac à main de couturier : Grayson Perry l’appelle « la Madone au sac à main ».

Enfin, à droite de la scène finale montrant Satan engloutissant la vie de tous les hommes et femmes de tout rang qui traversent le tissu – touristes, pèlerins, ménagères, religieuses, chevaliers, motocyclistes, ivrognes, aviateurs, familles, amoureux, aveugles, soldats, hommes d’affaires, pendus, paysans et cowboys, et même un terroriste qui s’apprête à se faire sauter, bref, tout le monde – se trouve un homme nu, visiblement mort, étendu sur une sorte de drap décoré. C’est une référence évidente à L’Homme des douleurs debout près d’une colonne d’Albrecht Dürer.

Les choix artistiques et spirituels du Forum économique mondial vont dans un sens très précis

Toute l’imagerie utilisée par Grayson Perry est une mise en cause des croyances futiles de l’humanité, aussi futiles que les nombreux noms de marques commerciales, omniprésentes : c’est la mise en scène d’une désespérance que rien ne peut détruire, ni la joie, ni la peine, puisque tout aboutit à une même destinée infernale, à la mort définitive… la mort définitive du Christ, croit-on comprendre.

Pourquoi cette œuvre-là (ou peut-être sa reproduction ?) a-t-elle été choisie pour décorer une salle d’apparat de la réunion de Davos, où se retrouvent les représentants du pouvoir comme ceux des multinationales ? Ce qui est sûr, c’est que l’art – et surtout l’art contemporain ou l’art associé à l’intelligence artificielle – tient une place importante au Forum économique mondial. Tout comme la spiritualité panthéiste, qui lui est d’ailleurs associée. (Jeanne Smits).

AU HELLFEST EN 2024, LA « GARDIENNE DES TÉNÈBRES »

En 2024, cette chimère de 10 mètres de haut habite à l’année le terrain accueillant le festival, devenu au fil des années un véritable lieu de promenade des habitants de Clisson, des fans du festival et des visiteurs. Véritable projet urbain, l’entrée du festival Hellfest est remodelée en un parvis entièrement piéton qui accueille également la Porte des Ténèbres, l’antre de la Gardienne, une aire de jeux pour enfants ou encore la brasserie HellCity.

La Gardienne des Ténèbres est la pièce maîtresse de ce projet. Elle est à la fois une machine de spectacle et une machine de ville capable de transporter des personnes. C’est une véritable architecture en mouvement qui offre un point de vue différent de l’espace public. Cette chimère originale est un cerbère qui contrôle le passage entre notre monde et celui de l’enfer. Son buste de femme à la peau brune surmonte l’abdomen d’un scorpion.

Voir sur le site de la Compagnie La Machine.

« Infernopolis » en Loire-Atlantique : le visage troublant du « metal » au festival Hellfest

L’EUROVISION 2024 À MALMÖ EN SUÈDE

Il y a beaucpup à dire. Il vous suffit de visionner cette vidéo : Bambie Thug from Ireland performed ‘Doomsday Blue’ in the Grand Final of Eurovision 2024 in Malmö, Sweden

Dans le titre Doomsday Blue de la compétition, son style est le ouija pop — une référence à la célèbre planchette pour communiquer avec les esprits défunts. Elle y juxtapose des éléments apparentés à la culture populaire, comme la malédiction initiale Avada Kevadra (« qu’on le détruise ») tirée d’Harry Potter avec des symboles ésotériques témoignant d’une recherche plutôt studieuse. Parmi ces derniers, des textes sur la peau de l’artiste en ogham, l’alphabet ancien de l’Irlande, qui ont impressionné les linguistes spécialisés . En demi-finale, ces textes étaient pro-palestiniens : « Cessez-le-feu » et « Libert pour la Palestine ». Toutefois, suite à une protestation des organisateurs, c’est le slogan « Couronnez la sorcière » qui a plutôt été retenu pour la finale.
Car Bambie Thug s’affiche ouvertement en tant que sorcière ; elle est même apologiste de la sorcellerie en tant que religion nationale. Elle offre un récit assez répandu des bienfaits contemporains du néo-paganisme, sorte de retour « patriotique » aux racines pré-chrétiennes de la culture celte. Au passage, elle s’émancipe de toutes les religions et normes sociales qu’elle considère comme oppressives. Bambie Thug dit avoir été initiée aux pratiques occultes au quartier Muswell Hill de Londres. Si elle décrit sa sorcellerie comme étant purement bienveillante, elle ne masque pas son respect pour les satanistes qui « vivent dans la lumière et sont si gentils ».

L’OUVERTURE DES JEUX OLYMPIQUES DE PARIS (2024)

Voir sur cette page : Les jeux olympiques, les drag queens et Jésus : le christianisme est il une serpillière ?

À TOULOUSE, LE MINOTAURE EST DE RETOUR (2024)

Décryptage sur cette page du site sosdiscernement.org

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